
Peintre majeur du XVIIIe siècle, un peu oublié depuis, Jean-Baptiste Greuze interroge de tableau en tableau les sentiments de ses jeunes modèles, jusqu’à la perte de l’innocence. Une nouveauté à l’époque, lourde de sens. Le Petit Palais à Paris lui consacre une rétrospective. Maurice Ulrich , lHumanité Vers 1765, un dessin à la plume de Jean-Baptiste Greuze représente le retour de nourrice d’un enfant. L’usage était, dans les familles aisées de l’époque, de confier le nouveau-né à une femme de la campagne pour son allaitement et ses...